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674. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Le duc de Lauzun. » pp. 287-308

C’est vous seule que je veux servir, vous êtes mon unique souveraine… » À travers mille échecs et mille traverses qu’il rencontrait à chaque pas, il continuait de jouir, selon son expression de fat, « de la plus ridicule faveur dont on puisse se former une idée ». […] Lauzun avait commencé à lui être infidèle avant même de l’avoir épousée car dans le temps où il allait lui faire sa cour au parloir de Port-Royal, ayant eu occasion d’y rencontrer Mlle de Beauvau (depuis princesse de Poix), il se prit de goût pour celle-ci et lui fit une déclaration par lettre ; il sollicitait son aveu pour rompre l’union projetée et la demander à ses parents « Elle eut horreur de la proposition du duc, et lui renvoya immédiatement sa lettre recachetée.

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