M. de Girardin, qui faisait également les siens par la publication de la Mode avec Lautour-Mézeray, et qui de son coup d’œil d’habile directeur était à l’affût des talents, s’adressa à Gavarni dont il avait remarqué une suite de travestissements lithographies ; il le fit chercher à Montmartre où l’artiste habitait alors. […] Malgré mon désir de ne pas les détacher et les séparer du sujet, je dois remarquer encore qu’il a fait révolution en ce genre au théâtre et dans les bals costumés.