Et remarquez que, dans ces contes, seigneurs et vilains sont du même acabit, aussi gouailleurs et aussi égrillards les uns que les autres. […] Il ne leur accorde guère qu’une obéissance extérieure et machinale ; à toute occasion il s’échappe en escapades ; son plus grand plaisir est de remarquer qu’il n’est pas leur dupe, et de le faire remarquer à son voisin.