Cette vue se relie facilement à la conception téléologique, en vertu de laquelle Dieu meut et gouverne l’ensemble des choses ; et ainsi elle apparaît comme favorable à la morale et à la religion. […] Dès lors, tenir pour la fixité, c’était admettre un créateur ; nier la fixité, c’était, en convainquant d’erreur scientifique l’auteur de la Genèse, ruiner les fondements de la métaphysique et de la religion.