Viennent les guerres de religion ; vient Henri IV avec son édit de paix et de tolérance. […] Renonçant à retrouver l’Évangile et la religion des apôtres, il reste catholique : ne prétendant plus ressusciter l’âme grecque ou latine, il redevient Français. […] Ce soldat des guerres de religion est sans fanatisme, à tel point qu’on ne sait guère si ce capitaine calviniste était réellement calviniste. […] Il ne parle guère de la religion, dans ses Lettres, et nous ne pouvons trop savoir ce qu’il en pensait. […] Puis, on a vu quelquefois des gens d’église se moquer de la religion et vénérer l’Église : je n’en sais pas, hors les l’auteurs de schisme, qui se soient moqués de l’Église en vénérant la religion.