Les poètes qui, de 1802 à 1850, ont exprimé des idées religieuses, ont fait preuve d’un sentiment religieux extrêmement inconsistant et débile. […] Leur génie fut plus religieux que leur cœur, et même ce fut leur art qui fut plus religieux que leur génie. […] Il a le sentiment religieux. […] Le sentiment religieux et la foi religieuse font pour lui partie du civisme. […] Il n’y a pas autre chose dans la question religieuse.