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351. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. de Lacretelle » pp. 341-357

Pour apparaître dans sa splendeur presque mystique, tant elle est pure et religieuse aux yeux de la postérité, Lamartine n’a besoin ni d’une statue, fût-elle de Michel-Ange lui-même, ni d’une biographie, fût-elle de n’importe qui ! […] Le succès du Génie du Christianisme tenait aux idées religieuses qui faisaient encore le fond des âmes, et que la révolution avait comprimées et blessées. […] Et après les Secondes Méditations, les Harmonies poétiques et religieuses, évidemment le chef-d’œuvre de son génie.

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