Quelqu’un me dit : « Cette gaieté des moines échappés dans les jardins des couvents entre deux exercices religieux est quelque chose de très particulier. […] La belle humeur des religieux et, en général, des hommes d’Église n’est point une invention des conteurs du moyen âge. […] L’ordre des Frères prêcheurs est, je crois, à l’heure qu’il est, le plus brillant des ordres religieux, le plus généreux, le plus aventureux aussi. […] (Et je profite de l’occasion pour rappeler aux profanes qu’il y a des chapitres pleins de grâce dans la Vie de saint Dominique et un grand charme de poésie, de tendresse, de piété un tant soit peu rêveuse et romanesque, dans la Vie de Marie Madeleine, dont les religieuses interdisent la lecture aux petites couventines et que M.