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563. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIe entretien. Balzac et ses œuvres (1re partie) » pp. 273-352

Sa sérénité enfantine regardait le monde de si haut qu’il ne lui paraissait plus qu’un badinage, une bulle de savon, causée par la fantaisie d’un enfant. […] Il sort du salon et rentre traînant le bon chien, à qui il dit : “Assieds-toi là, Mouche, et regarde ; ça ne te coûtera rien, c’est bon papa qui paye ! […] « — Regardez cette toile d’araignée où cette grosse mouche pousse des cris à m’étourdir ? […] … « Le paresseux regarde et ne bouge pas ! […] Le vieillard est un homme qui a dîné et qui regarde les autres manger, et moi, jeune, mon assiette est vide et j’ai faim !

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