J’ai toujours dans les yeux la déchirante imploration de son regard, pendant la terrible crise. […] Dans l’ombre des rideaux, j’ai devant moi la fixité de son regard. […] Ma mère, sur votre lit de mort, vous m’avez mis la main de votre enfant chéri et préféré dans la mienne, en me recommandant cet enfant avec un regard qu’on n’oublie pas, êtes-vous contente de moi ? […] * * * Ses yeux se sont rouverts avec le regard de souffrance des derniers jours de sa vie. […] Son regard paraît vous suivre, après que vous l’avez embrassé, et on aurait, par moment, l’illusion de la vie, si l’on ne rencontrait le violet de ses ongles au bout de ses mains pâles.