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414. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Ils auraient des sourires à tout briser, des regards à tout brûler ! […] Et cette femme accorte et vive, au regard plein de feu, le rire à la lèvre et le printemps à la joue ? […] Il avait fait pâlir, d’un regard, les trente tyrans ; il avait résisté, en toute circonstance, aux colères impatientes de la multitude. […] Un peu de feu sur la joue, une flamme au regard ! […] Ces trois femmes s’en vont, sans se repentir, sans s’étonner, sans jeter un dernier regard sur le perfide !

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