Jamais ascète chrétien n’a jeté sur la vie, du fond de sa cellule, un regard plus triste que ce héros assis sur le trône du monde. — « Oh ! […] Déjà, avant de partir, M. de Pienne avait échangé avec Diane un regard brûlant de trouble et d’amour. […] En présence de celle qu’il aime, le sbire, qui soupçonne de Pienne, vient lui remettre un ordre de départ pour l’armée qui l’envoie à la brèche, au péril, à l’avant-garde, et il épie, d’un regard oblique, l’impassible physionomie de Diane, qui pressent le piège et contient son cœur.