Apollinaire tint par réaction des propos barrésiens cependant que l’ambigu Francis, dont la pensée était ailleurs et dont le regard fixait avec rancune des pinards détestables, disait des choses molles en faveur de la Patrie. […] Alors devant mes regards aveugles que tente aussi vainement la perpétuelle offrande des gestes dévoués que le fuyant sourire des Ondines surgit en une vision profonde cet Apollinaire-là, suprêmement exquis, que je n’ai jamais su voir. […] L’avant-garde littéraire au Grand-Duché de Luxembourg entre 1917 et 1919 », Regards/mises en scène dans le surréalisme et les avant-gardes, textes réunis par Claude Bommertz et Jacqueline Chénieux-Gendron avec la collaboration de Myriam Blœdé, Leuven, Peeters, coll. « Pleine Marge », 2002, p. 23-44, où l’on trouvera le texte du manifeste de Pol Michels et d’Augustus Van Werveke paru en 1917 dans La Voix des jeunes : « Nous !