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328. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

L’Empereur, à demi penché vers l’un de ses compagnons, sentit ce regard et se retourna. […] Mais le regard de Maud, arrêté sur lui, lui ôtait toute force… Il ramassa son chapeau d’un geste machinal. […] À la vingt-quatrième marche, il vacilla, couvé par tous les regards de la place. […] L’ivrogne jette à droite et à gauche un regard éteint et furtif. […] Son air, m’a-t-il dit, était farouche ; son chapeau enfoncé jusque sur ses yeux, son regard foudroyant.

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