Le texte définitif porte, comme on sait, mais il est utile, au cas que vous n’auriez pas votre Métromanie sous la main, de mettre les deux textes en regard : Je me laisse entraîner chez Monsieur Francaleu Par un impertinent que je connaissais peu. […] C’est vers 1830 que l’air romantique est bien porté, non pas dans toutes les classes de la société, mais dans quelques groupes très en vue, très étalés et qui attirent les regards et qui provoquent à leur tour l’imitation. […] Mon sourcil se tordait sur mon front soucieux, Ainsi qu’une vipère en fureur ; et mes yeux Dardaient entre mes cils un regard ferme et louche ; Un sourire infernal crispait ma pâle bouche.