Le roi de Prusse jugeait Louis XV d’après lui ; … mais il avait mal vu, et ne tarda point d’abandonner un allié dont il reconnaissait la nullité, quand il eut retiré tous les avantages qu’il attendait de la campagne. » Le roi ira-t-il ou non à l’armée ? […] L’homme qui a écrit les pages qu’on va lire n’est pas difficile à deviner et à reconnaître : son grand-père (lui-même nous l’indique) était collègue d’un duc de Bouillon durant la maladie du roi à Metz, en 1744, et le voilà qui se trouve à son tour côte à côte d’un duc de Bouillon dans cette maladie royale de 1774.