De même, nous voyons la fable de Jupiter et le Métayer, du métayer qui demande à Jupiter de disposer de l’humidité et de la chaleur, et qui réussit à compromettre, même à perdre complètement sa récolte, et qui finit par reconnaître que Jupiter sait mieux ce qu’il nous faut que nous autres. […] Cependant, je vous montrerai que La Fontaine — je le crois — touche à la morale, à quelque chose, du moins, qui peut s’appeler une morale ; cela à certains moments ; mais je reconnaîtrai aussi que ces moments sont assez rares. […] Seulement, il faut le reconnaître et c’est ici que je me sépare un peu de l’opinion radicale exprimée jadis par M. Doumic il y a quelques fables, — je reconnais qu’il y en a peu il y a quelques fables où La Fontaine a recommandé quelque chose qui peut nous persuader qu’il est un vrai moraliste.