Quand elle se présente au palais, il l’admire, mais il ne la reconnaît pas. […] Il s’accuse lui-même du fatal aveuglement qui l’a empêché de reconnaître son amante et son épouse. […] Les ténèbres de l’intelligence du héros se dissipent à la vue et à la voix de l’enfant ; il reconnaît la mère. […] Cette poésie ne reconnaît de véritable grandeur que dans la domination du héros sur ses propres passions. […] Il reconnaît confusément les sites sauvages où il a passé sa jeunesse avec Sita.