On sait la large empreinte qu’en reçut le poëte qui a dit : Ce siècle avait deux ans…. […] Daru et M. de Talleyrand, reçoit le Moniteur, et y voit une ode A la Grande Armée, signée Lebrun : « Lisez-la, » dit-il à Daru. […] O ma maison, reçois ton maître ! Forêt, fleuve, coteau champêtre, Recevez votre possesseur. […] Lebrun, fit imprimer en 1820 une Marie Stuart qui était reçue depuis trente ans au Théâtre-Français, et qui sommeillait dans les cartons.