Si de pareilles divergences se produisent sur la cause organique de la folie, là où il est évident qu’il y a maladie, et où l’anatomie pathologique a tant de sujets à sa disposition, comment pourrait-on arriver à quelques résultats, je ne dis pas certains ni vraisemblables, mais même hypothétiques, lorsqu’il s’agit du génie, fait infiniment plus rare que la folie, et qui ne se prête pas aussi facilement à l’analyse anatomique ? […] En outre, j’admets que l’abus du travail intellectuel puisse amener la folie (quoique cela soit très rare quand il n’y a pas de cause concomitante).