Vous étiez franchement romanesque, par une immarcescible jeunesse d’esprit, et parce que l’extraordinaire des événements vous permettait d’imaginer des cas de bonté plus rares. […] La grâce d’une Caylus ou d’une La Fayette est quelque chose d’aussi rare, d’aussi unique, d’aussi beau, d’aussi ineffable et incommunicable que la profondeur de pensée d’un Pascal ou la puissance d’expression d’un Victor Hugo.