Dans les limites que vous indiquez — un poète mort du xixe siècle — je m’adresse à Lamartine ou à Desbordes-Valmore lorsque je veux trouver une inspiration tendre et nuancée, à Baudelaire (bien qu’il ait eu toujours une sensibilité artificielle) pour rencontrer l’un des rares faiseurs de vers qui aient eu le sens de la métrique et connu la valeur des mots.