Un homme d’un esprit étendu et d’une noble ambition intellectuelle, Gustave Fallot, le premier chez nous, entreprit de donner à des études jusqu’alors partielles, éparses, fragmentaires, un ensemble, une constitution scientifique, et de les mettre en rapport par l’esprit et la méthode avec les travaux des illustres linguistes d’outre-Rhin. […] Littré a un rapport essentiel de ressemblance. […] Le texte d’Apulée qu’elle cite comme relatif à la dégradation du latin parmi les paysans n’a aucun rapport à cette langue.