Le rapport à un sujet sentant et voulant est donc bien caractéristique du point de vue psychologique. […] On peut donc dire que les rapports psychologiques sont, comme tels, des rapports de finalité immanente, très différents des lois de causalité purement physique. […] Le rapport du sujet aux objets n’est plus un simple rapport de représentation, mais d’adaptation et de finalité immanente, primitivement irréfléchie et irraisonnée. […] Il n’en résulte pas que le rapport des deux sensations puisse toujours être exprimé par un nombre. […] Faut-il en conclure qu’il y ait là simplement une sensation de qualité différente, quoique semblable sous certains rapports ?