Ai-je besoin de rappeler qu’il s’agit, dans le roman, d’un enfant naturel, du fils d’une pauvre fille abandonnée, qui travaille pour vivre ? […] Je me rappelle littéralement ses paroles qui firent sur moi une profonde impression. […] D’ailleurs, il faut se rappeler que la tyrannie, même douce, répugna longtemps à l’âme hellénique. […] Du moins le grand capitaine espéra jusqu’au bout et ne négligea rien pour rappeler la fortune. […] Ne se rappelle-t-on point les gerbes du Parnasse ?