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812. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « M. de Fontanes »

Mais à l’instant la terre s’entr’ouvre, l’Ombre de son père en sort et le rappelle à la raison, à la constance, à la vertu, lui montre une sœur chérie qui lui reste, et l’invite aux beaux-arts, à la poésie noblement consolatrice. […] Les amis heureux le désiraient, le rappelaient. […] Mon nom n’y a pas été rappelé. […] Ô vous tous, Puissants, qui vous croiriez forts sans l’esprit, rappelez-vous toujours qu’en ses heures de miracle, entre Iéna et Wagram, c’est ainsi que le sabre a parlé139. […] Quand le caractère et les sentiments français pouvaient s’altérer de plus en plus par un mélange étranger, elle faisait lire les auteurs qui les rappellent avec le plus de grâce et d’énergie.

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