Rien ne fait éprouver une plus douce sensation que de rentrer par la lecture dans le cours habituel de ses rêveries : et si l’on veut se rappeler les morceaux qu’on aime dans les divers écrits de toutes les langues, on verra qu’ils ont presque tous un même caractère d’élévation et de mélancolie. […] Les anciens romans français peignent des aventures de chevalerie, qui ne rappellent en rien les événements de la vie.