J’ai lu une lettre de la mère de Czerski à son fils, où elle lui rappelle les sacrifices qu’elle a faits pour son éducation cléricale, et le supplie de rester fidèle au catholicisme. […] Ce n’est pas de voir des hommes qui constitue la société, c’est d’avoir avec eux quelques-uns de ces rapports qui rappellent qu’on n’est pas seul au monde. […] Jusque-là, mon ami, me rappellerai sans regrets le jour où je les prononçai. […] Rappelez-vous cette définition que donnait du christianisme ce proconsul (ni fallor) dont il est parlé dans les Actes : « Il s’agit d’un certain Jésus.