Je me rappelle parfaitement les débuts de Ranc, qui ne tapagèrent pas. […] se rappeler le Redgauntlet de Walter Scott, voilà qui est mortel à l’œuvre de Ranc ! […] … Comment ne pas se rappeler cet écrasant chef-d’œuvre, dont la simple comparaison aurait dû être pour Ranc une lumière et un idéal ? Comment ne pas se rappeler tout cet univers qui tourne dans Walter Scott autour de cette conspiration entreprise dans l’intérêt du prince Édouard, et les centaines de personnages s’agitant dans les magnifiques épisodes de cette conspiration manquée, tous sublimes dans leur incroyable variété, les uns ressortant de l’Histoire, les autres ressortant de la vie !