il n’a pas écouté des scrupules qui avaient leur éloquence et leur raison d’être, et il a écrit son livre avec la simplicité consciente de la force des choses qu’il avait à raconter. […] Mais là encore n’est pas la raison supérieure qui doit faire choisir le parti le plus hardi comme le plus habile. Cette raison supérieure n’est rien moins que l’instruction du pouvoir, que sa propre expérience par l’histoire. […] Il fallait donc que de bien grandes raisons fussent en lui, de bien grands projets peut-être, pour s’engager avec des ennemis contre ce qu’il avait toujours aimé. […] Mais, par cette raison, s’il les eût rétablis avant de mourir, il eût bien fait encore puisqu’il est infaillible.