René Biémont, a intitulé « Le petit-fils d’Obermann », un roman dans lequel il raconte les souffrances d’une âme inquiète. […] Il faut consulter sur la vie ceux qui se sont plu à en raconter les vicissitudes. […] Charlet raconte qu’il l’a sauvé. […] Mais la chose est racontée de façon différente par Sainte-Beuve et par Ampère lui-même, et il faut entendre les deux versions. « M. […] A son tour, Musset s’entretient avec Lamartine dont il ne connaissait alors que les vers émus, et lui raconte les chagrins de son cœur brisé.