Il raconte les choses comme elles sont, ou comme elles ne sont pas, mais sans réticence et sans ambage. […] Proudhon, qui se raconte, se pavane, s’étale, et traite le public comme ce valet de chambre pour lequel il n’y a pas de grand homme, Proudhon pourrait se dispenser de prendre tant de soin et de se raconter. […] Mais je déclare que j’ai lu avec beaucoup de soin ces quatre volumes qui racontent les quarante premières années de sa vie, et que je n’ai pas trouvé un seul fait qui appuie cette accusation de méchanceté. […] Il leur raconte les livres qu’il fait à mesure qu’il les fait, et les publications lointaines qu’il projette.