Je l’aime mieux quand il peint, parce que l’imagination y suffit, et quand il raconte, parce qu’il n’y faut que de l’enjouement et de l’esprit, avec une raison ordinaire.
Je l’aime mieux quand il peint, parce que l’imagination y suffit, et quand il raconte, parce qu’il n’y faut que de l’enjouement et de l’esprit, avec une raison ordinaire.