. — Nul flambeau, nul témoin que la profonde nuit Qui ne raconte pas les secrets qu’on lui dit. […] Puis il me raconte les déboires de sa première passion trompée. […] Je lui racontais ici deux circonstances de ma vie, circonstances bien dégagées de toute sensualité et dans lesquelles cependant j’avais goûté plus de saveur du véritable amour que, ni lui, ni moi, nous ne pourrions en goûter jamais dans les possessions et dans les jouissances où il plaçait si faussement sa félicité de voluptueux.