Je me dis que ce petit ensemble, humain et divin, a tenu tête aux assauts de toutes les balivernes meurtrières, à Rousseau, aux Droits de l’Homme, à Kant, à Robespierre, à Bonaparte, à leurs apologistes, à Hugo, au romantisme, aux banquiers juifs, aux politiciens républicains, aux démagogues, aux démophiles, aux sorbonnards, aux salonnards, aux journaux enfin, acharnés à la ruine et à la mort de la race, à l’écroulement de notre bel édifice français, et cela de 1789 à 1914. […] La fourbe de Zola (fort sensible à l’observateur attentif) était des mieux feutrées et masquées que j’ai connues, telle qu’au confluent de deux races, l’italienne et la française, comme celle de Gambetta. […] L’autre Normand appartient à la race des géants, des initiateurs, dont le regard domine et outrepasse la foule des ânonneurs d’opinions toutes faites et des adorateurs de faux chefs-d’œuvre.