Le public populaire, sauf quand il va au café-concert pour satisfaire le besoin de propos salés qui est un des traits de la race, va au théâtre pour s’intéresser à quelqu’un et non jamais pour autre chose. […] Ces Corneille étaient de race forte. […] C’est le rôle, je le sais bien ; mais on aurait pu y ajouter un peu de race et de grand air, sans donner au personnage rien de la légèreté spirituelle des gentilshommes du dix-huitième siècle, ce qui, je le reconnais, eût été un contresens.