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382. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Le Livre des rois, par le poète persan Firdousi, publié et traduit par M. Jules Mohl. (3 vol. in-folio.) » pp. 332-350

Pendant les premières années, le poète vit se réaliser son rêve. […] , s’achevait, Ferdousi vit s’écrouler le rêve de sa fortune. […] Dans sa ville natale, j’ai dit qu’enfant il s’était assis souvent au bord du canal qui coulait devant la maison du jardinier son père, et que c’était là qu’il avait nourri ses premiers rêves.

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