À cela l’histoire, qui ne rêve pas et qui même empêche de rêver, l’histoire répond par les sociétés qui meurent et les civilisations qui se déplacent, comme la mer qui avance là et recule ici sur ses rivages, et c’est, parce que tout finit, toujours tout à recommencer ! […] Il n’y a que des rêves, qu’on a trop faits déjà dans d’autres livres pour être intéressants, sous une plume par instants brillante.