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218. (1902) Les poètes et leur poète. L’Ermitage pp. 81-146

Avec une merveilleuse puissance lyrique, il en exprime et il en représente tous les rêves, toutes les épreuves, toutes les grandeurs. lien a rythmé l’âme inquiète et le généreux tumulte. […] J’essaye pourtant, mais c’est arbitraire : Vigny, le Rêve ; Lamartine, la Rêverie ; Musset, l’Amour ; Baudelaire, la Volupté ; et Hugo ? […] Ce sera l’âme fraternelle qui ressemble à la mienne, qui rêve les mêmes rêveries, qu’impressionne le pareil fait extérieur. […] Tous les grands à tour de rôle, quand je les lis, ou quand j’y rêve. […] Il a ses préférences… de peintre et il pense, rêve et s’émeut devant les éblouissantes toiles de Th. 

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