William Ritter, sous-titré « Rêves vécus et Vies rêvées », je dois constater une grande dextérité de main, une rare force descriptive dans l’ensemble de l’œuvre. […] Le cœur est seul capable de féconder ses rêves. […] Ce rêve, des hommes d’une intelligence suprême s’y sont associés : Littré l’a publiquement confessé et en a fait pénitence. […] je rêve. […] Camille Flammarion est, en même temps que la fantaisie la plus étrange, le cauchemar le plus épouvantable et le rêve le plus doux qu’on puisse faire.