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196. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Monsieur Étienne, ou une émeute littéraire sous l’Empire. » pp. 474-493

Étienne, Le Rêve, donnée au Théâtre-Favart en janvier 1799, jusqu’aux Plaideurs sans procès, donnés au Théâtre-Français en octobre 1821, on a tout ce qu’il a produit pour la scène, vaudevilles, impromptus, arlequinades, les jolis opéras-féeries comme Cendrillon, les jolis opéras-comiques comme Joconde, qui firent courir tout Paris. […] Alphonse François, a dit à propos de l’opéra-comique du Rêve : « Le Rêve est le premier ouvrage de M.  […] L’auteur avait à peine vingt ans. » Il m’est impossible, à moi qui n’y suis pas obligé, de voir tant de choses dans Le Rêve, et il serait aussi facile et plus certain d’y relever dans le dialogue des choses communes et peu délicates, de même que dans Le Pacha de Surêne ou dans Le Chaudronnier homme d’État.

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