Ils trouvoient absurde que l’orthographe ne répondît pas à la prononciation ; que l’une fût continuellement en contradiction avec l’autre. […] Quant à cette raison qu’on croyoit sans réplique, qu’il faudroit jetter au feu les meilleurs livres, comme devenus inutiles par la nouvelle orthographe, ils répondirent que, pour remédier à cet inconvénient, on n’avoit qu’à les faire imprimer de nouveau.