Vous avez raison d’aimer mieux les choses complètement réelles : moi, j’aime mieux les fantastiques ; mais je sais que j’ai tort ; aussi n’en ferai-je que peu, de temps en temps et pour m’amuser. […] Des années s’écoulèrent : notre amitié subit dans l’intervalle bien des interruptions, des silences, des intermittences, sans que jamais aucun tort réel d’un côté ou de l’autre y vînt porter une sérieuse atteinte.