Quelle doctrine résoudra ce paradoxe réel, cette antinomie vivante qu’on appelle l’homme ? […] Elle a ce danger d’interdire à celui qui s’y abandonne le maniement du réel. […] Si le poète est incapable d’étreindre le réel, il est aussi affranchi de sa servitude, et le monde du rêve infini s’ouvre devant son essor. […] Les excès qui ont pu être commis au nom de ce principe ne doivent pas empêcher la critique de reconnaître la très réelle valeur de la tâche accomplie. […] Il reste le plaisir de spéculer sur des idées, qui, lui, du moins, est réel.