Le récit est souvent interrompu par des réflexions morales et royales très judicieuses. […] On a dit de Louis XIV que personne ne contait mieux que lui : « il faisait un conte mieux qu’homme du monde, et aussi bien un récit ». […] On a un échantillon de sa manière de décrire et de peindre, dans sa lettre écrite de Montargis à Mme de Maintenon sur l’arrivée en France de la duchesse de Bourgogne ; mais de récit proprement dit ou de conte, nous n’en avons pas.