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255. (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »

Un des plus grands politiques, et qu’il est bon quelquefois de relire, le cardinal de Retz faisant le récit de la Fronde, ne peut s’empêcher de se demander, lui aussi, comment de l’état de somnolence et de léthargie où l’on était tombé, où l’on était encore « trois mois avant la petite pointe des troubles » qui faillirent bouleverser tout l’État et l’ordre même de la monarchie en France, on passa presque subitement à une commotion violente et universelle. […] « Le récit de l’audience accordée par le roi Charles X à Victor Hugo, récit inséré dans la Revue de Paris, est de moi.

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