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235. (1861) La Fontaine et ses fables « Première partie — Chapitre III. L’écrivain »

Ses récits ressemblent à des magots de Téniers parmi les perruques de Versailles. […] Les paysans s’y trouvent, et à côté d’eux les rois, les villageoises auprès des grandes dames, chacun dans sa condition, avec ses sentiments et son langage, sans qu’aucun des détails de la vie humaine, trivial ou sublime, en soit écarté pour réduire le récit à quelque ton uniforme ou soutenu. Et néanmoins ce récit est idéal comme celui d’Homère.

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