/ 1708
185. (1817) Cours analytique de littérature générale. Tome III pp. 5-336

L’héroï-comique est, de même, le récit en vers d’une action merveilleuse, mais tour à tour noble, gaie, grave, et légère. […] Enfin la réunion de ces diverses conditions remplies ne produit-elle pas le complément du récit en vers d’une action héroïque et merveilleuse ? […] Longin attribue à sa vieillesse, qu’il compare au déclin du soleil couchant, la quantité de récits qui répandent dans ce poème une sorte de refroidissement et de langueur. […] Mais le récit d’une action n’est pas celui d’une vie. […] Ce dérèglement d’une imagination sans frein n’était pas nécessaire au récit du fait, et le rend burlesquement invraisemblable.

/ 1708