Idée de la réalité en soi, du noumène et de l’inconnaissable. […] Il y a peut-être une réalité autre que notre connu et notre connaissable, une réalité pour nous inconnaissable. […] En supposant une réalité qui serait quelque chose de premier en soi, non plus seulement pour moi, je forme l’idée d’absolu. […] Dans l’idée d’absolu, il n’y a de positif que l’idée du tout de la réalité, quel qu’il soit. […] De plus, elles sont des instruments d’analyse pour la décomposition de la réalité en ses formes ou mouvements élémentaires.