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695. (1890) Le massacre des amazones pp. 2-265

On voit que nous sommes loin de la réalité contemporaine. […] C’est la fleur de poésie, sans la terre de réalité sur laquelle elle poussa. […] Par instants, l’océan de réalité s’irrite, et la tempête semble sur le point de briser la frêle barque. […] On trouve avec joie, dans ces pages, de la vie saisie en son mouvement, de la réalité capturée au passage et des âmes qui se livrent sans artifice. […] J’admire une plume « instrument vibrant et délicat où la fantaisie elle-même a toute la force de la réalité ».

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